Stances à Sophie

Stances à Sophie


Reproduction interdite

Refrain :
Sophie, toi que j’aimais tant,
J’t’emmerde, j’t’emmerde.
Sophie, toi que j’aimais tant,
J’t’emmerde à présent.

Tu m’demandes tes lettres, ta photographie,
Ton éponge à cul, ton bidet d’métal,
Je m’en fous pas mal, ingrate Sophie,
Et j’te renvoie l’tout par colis postal

Ha Ha...

Tu veux faire la peau, un métier d’grenouille,
Et me remplacer par d’autres amants
Mais, vois tu j’m’en fous comme d’la peau d’mes couilles,
Car tu pues d’la gueule et t’as l’con trop grand.

Quand j’tai rencontrée un soir dans la rue,
Où tu dégueulais tripes et boyaux,
Ah ! Si j’avais su que tu fusses une grue,
J’t’aurais balancée par l’trou des gogu’nots !

Mais j’t’ai recueillie, Dieu que j’étais bête !
Car le lendemain, j’me suis aperçu,
Qu’j’avais des morpions des pieds à la tête,
Des poils du nombril jusqu’au trou du cul.

Puis le lendemain, t’avais tes affaires,
Le sang inondait la chambre à coucher,
Et j’ai consenti, pour te satisfaire,
A te sucer le con pour mieux le sécher.

J’ai même aspiré de tes pertes blanches,
Mais quand j’ai voulu tirer un bon coup,
Tu ne gigotais pas plus qu’une planche,
Et je m’esquintais sans rien faire du tout.

Et puis tu avais des passions honteuses,
J’en rougis encore, rien que d’y penser,
Et pour apaiser ta chair luxurieuse,
A tous tes caprices m’a fallu céder.

N’as tu pas voulu que ma langue se perde,
Dans les plis profonds du trou de ton cul ?
Je l’ai retiré toute pleine de merde.
J’en ai dégueulé, tu n’en as rien su.

Adieu pour toujours, va, tu me dégouttes,
De toi je me fous, je sais me branler.
Je ferai gicler mon sperme goutte à goutte,
Plutôt que d’revenir te caramboler.

Oui, c’est bien fini, je te l’dis sans glose,
N’ayant plus d’putain, je n’serai plus cocu,
Et si par hasard j’te remets quelque chose,
Ce ne sera jamais que mon pied dans l’cul.