Rosa Mystica
Goutte à goutte de ta matrice, 
Comme d’un alambic fêlé, 
Ton urine suinte et glisse 
Le long de ton cul pelé - oui tout pelé 
Ton con est une casserole 
Où fermentent en écumant - en écumant 
La chaude-pisse et la vérole 
En leur fétide accouplement. (bis)
Tes cuisses ont des reflets verdâtres, 
Tes seins sont flasques et flétris, 
Au sommet les morpions jaunâtres 
Sur le fumier ont leur logis - oui leur logis 
Pourtant je t’aime, ô mon amante 
Et je voudrais jusqu’à demain - jusqu’à demain 
Lécher de ma lèvre brûlante 
Le foutre de ton vieux vagin. (bis)
Ta bouche est un cloaque immonde, 
Toujours bavant, toujours puant, 
Où tous les vits de ce bas-monde 
Ont craché leur foutre gluant - foutre gluant 
Tu n’es que lèpre et pourriture 
Et les chiens qui dans le ruisseau - dans le ruisseau 
Prendraient ta viande en pâture 
S’empoisonneraient jusqu’aux os ! (bis)
Et pourtant je t’aime, ô ma Rose 
Vénus, ce sont là tes attraits 
Peu m’importe que l’on glose, 
Pour toi, volontiers, je mourrais - oui je mourrais 
Oui, charogne et putride amante 
Je veux sucer jusqu’à demain - jusqu’à demain 
De ton cul la merdeuse fente 
Et les glaires de ton vagin. (bis)