Bouchées à la reine (Les)

Bouchées à la reine (Les)


Reproduction interdite

Le roi disait à la reine Victoire :
"Si tu voulais,
Entre tes doigts, réchauffer mon histoire,
Je banderais.

Si tu voulais, dans ta royale bouche,
Prendre mon vit,
Tu pourrais dire, praticienne farouche,
Le roi jouit." (bis)

Mais c’est en vain que la reine lui chatouille
Le trou du cul.
Ses doigts légers lui patinent les couilles,
C’est du temps perdu.

"Va", lui dit-il, "ta peine est inutile,
Je suis trop vieux.
Va t’en trouver mon cousin de Joinville,
Il bande mieux."

"Ton cousin de Joinville est un gros bande à l’aise,
Qui l’autre jour,
Pour m’enculer à la façon française,
Me fit la cour.

Et par trois fois, s’astiquant la quéquette,
Il se branla,
Mais il ne put enfoncer ma rosette,
Il débanda."

"Tiens", dit le roi, "Tu vas voir apparaître
Un gros cochon,
Car à l’instant, je m’en vas te mettre
Ma langue au con.

Et s’installant sur la royale couche,
Suce le bouton.
La reine alors lui décharge dans la bouche :
"Ah ! Que c’est bon !"

Du trou du cul de la reine en folie,
La merde sort.
Le roi avale ce que la reine chie :
Ca lui fait du tort.

Cet excrément qu’il digère avec peine,
Monte et revient,
"Cré nom de dieu, les bouchées à la reine,
Ca ne vaut rien."